19.12.17 A la recherche de la plage parfaite

Deuxième jour à Playa Larga dans notre cabanon près de la plage. Après un petit déjeuner pantagruélique.. enfin à base de Papaye (aussi nommé par la famille comme le fruit qui sert à rien), de goyave (dont le nom est plus exotique que le goût) et d’ananas (au retour à Paris, je ne suis pas sûre de manger de l’ananas tout de suite), nous partons à la découverte de notre lieu de villégiature.


Cela nous change grandement de la Havane, tout est plus lent, les gens que nous croisons sont plus souriants et nous sollicitent moins pour nous vendre transports, café, sombreros et châteaux en Espagne. Les locaux vivent leur vie tranquillement.
Donc nous voilà parti dans le centre du village direction la plage éponyme dont nous allons manquer l’entrée. Après un passage dans un chemin peu fréquentable en termes de déchets et de moustiques, nous arrivons sur la petite crique parfaite des caraïbes avec des jolis rochers, du sable fin, pas de déchets, des jolis petits coquillages … et deux hamacs habités de deux locaux. Exit la carte postale, nous nous sommes ainsi éclipsés via LE club de vacances de la station balnéaire, club d’Etat comme tout ce qu’il se doit à Cuba. Le club en question est une suite de bungalows type années 70 dans lequel on imagine très bien tourner un film d’horreur à la nuit tombée… mais nous accédons via le bar à une plage correcte avec transats et une eau transparente sans algue, sans rocher. Nous campons donc ici pour la journée et monsieur part à la chasse, aux boissons, au sandwich, aux glaces…
Une journée très tranquille au milieu des couples et des familles locales et de passage avec une mention spéciale à la famille russe qui boit le rhum comme du petit lait… ou de la vodka.

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