Le temps passe vite quand il s’agit de découvrir de nouveaux lieux. Trop même, si bien que j’ai le sentiment que Wellington mériterait qu’on s’y attarde pour bien prendre la mesure de la ville.
Si cette dernière est très accueillante, j’ai l’impression de n’avoir qu’égratigné la surface. Nos rythmes sont encore décalés ce qui nous empêche de prendre la mesure correcte de celui de la ville. Si une grande partie des ses attraits s’offrent naturellement : le port, les musées, Cuba Street … je suis persuadé qu’elle regorge de pépites bien cachées.
La vie nocturne semble en être l’expression parfaite : en apparence absente sur les grands axes (hormis le port, bien sûr), elle se dévoile au détour d’une rue où des micro brasseries accueillent concerts et autres événements en prime.
(La Gerbille : il est clair que nous n’avons pas pu tout voir, y compris la partie plus « verte » avec le jardin botanique et le parc national pratiquement intégré à la ville mais l’objectif n’était pas de tout voir mais d’avoir un sas de décompression avant d’attaquer l’île Sud. Ayant déjà eu l’occasion de tester Wellington le week-end je peux aussi dire que la vie nocturne est bien présente ; pour qui sait où aller…)
Apparemment la Gerbille a bien préparé son coup pour que cette visite de Wellington ressemble à un teaser, qui donne bien envie de revenir alors qu’on n’est même pas encore partis 🙂
