Jour 4, Singapour Exit

Je vous ai dit qu’on n’avait pas fait notre NZ ETA ? J’ai précisé qu’il était impossible d’obtenir une carte d’embarquement sans ce fameux sésame qui peut nécessiter jusqu’à 72h pour être émis ? Oups hein… genre gros Oups… A notre décharge la mesure date d’octobre 2019 et aucune précision n’était sur notre réservation, c’est donc au moment de l’enregistrement qu’on s’en est aperçu. Et si celui de mini-nous et le mien ont été émis en moins de dix minutes, celui de la Gerbille est resté en attente. Autant dire qu’après 4 jours de stress en mode coronavirus, on est maintenant bien tendus à l’idée de ne pas pouvoir embarquer pour la Nouvelle Zélande … manquait plus que ça. Comme dirait l’autre, c’est long d’attendre… pas sûr qu’on s’endorme sereinement encore une fois #sansDeconnay

Fin de suspens, c’est au moment où l’on s’apprêtait à pratiquer notre Kiwi pour appeler l’office d’immigration néo-zélandais – en mode lémurien azimuté le kiwi après avoir passé la nuit à rafraichir l’application d’émission – qu’on a enfin reçu le précieux feu vert. Bonjour le roller-coaster émotionnel. En parlant de ça, il est temps de pack et de partir vers l’aéroport où nous attendent 5/6h de glande avant l’embarquement. Vérification de la fièvre, check in et direction le Jewel qu’on avait vu que très rapidement à son ouverture lors de notre dernier passage à Singapour. Le Jewel c’est cette nouvelle extension de l’aéroport, où une cascade géante se précipite dans un vortex, entourée d’une véritable forêt tropicale en étages, elle même cernée de boutiques de luxe.

Au dernier étage se niche une espèce de parc – payant – , avec des attractions – payantes – et des restos – gratuits … non payants évidemment #tavulavierge -. Vérification de la température corporelle à chaque entrée, désinfection permanente, peu de monde … les conditions sont les meilleures possibles pour se tenir loin du virus.. Alors on en profite un peu, on touche à rien, on s’émerveille devant la puissance commerciale singapourienne, et on passe le temps. D’ailleurs quand j’y pense, je ne sais pas comment on a réussi à faire que mini nous ne touche à rien pendant autant de temps et malgré tout s’amuse : la princesse est vraiment exceptionnelle.

A présent ca y’est, nos fessiers #emojiPeche sont dans l’avion des sourires : le Dreamliner à l’empenage noir et blanc. Notre rythme cardiaque s’autorise une descente, les zygomatiques se relaxent, la mini princesse découvre le skycouch et même si on passera un vol assez bof #bébéQuiPleure, OMG qu’on est content de décoller. OMFGWTFBBQ11! même…

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