Jour 14, De Cefalù à Pantalica

Y’a pas, ça sent la fin du voyage là. D’ailleurs le plan consiste maintenant à se rapprocher de Catane pour s’assurer un départ sans trop de soucis ie jour J, aka après demain, aka Bastille Day, aka le 14 juillet – fondu au noir, plan sur la tour Eiffel, feu d’artifice … autant qui contraste avec ma totale absence d’envie de rentrer, mais alors rien, walouh nada keutchi #rienenlanguedessignes

Bien heureux l’ange qui se laisse conduire par la Gerbille dans les méandres des routes provinciales de Sicile pour arriver par 39 degrés bien tapés dans un ranch. Ewé, si on aime finir sur une note joviale nos voyages (qu’on dit que c’est pour la mininou mais qu’on en profite aussi bien quand même), Covid oblige et situation générale de la qualité de la maintenance des éléments de traction métalliques en Italie, on troquera le parc d’attraction par quelques jours à dos de canasson.

Et c’est pas peu dire pour la Gerbille. Globalement, ca signifie qu’au moment où elle appuie sur envoyer pour réserver, elle signe aussi pour deux jours en mode myxomatose, yeux rouges qui voient plus rien ni de nuit ni de jour, shoot d’antihistaminique en intraveineuse, lavage des yeux aux karcher physiologique et masque obligatoire. Faut qu’elle nous aime la Gerbille pour s’infliger ça. Alors oui, on pourrait dire que le sourire jusqu’aux oreilles de la petite ça vaut le coût, que la trogne de papa qui va enfin pouvoir jouer au cavalier avec sa progéniture ça vaut le coût … j’en sais rien, mais en tous cas, Mininou et moi on lui est reconnaissant à la Gerbille pour ces moments.

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