THAI Airways c’est de la balle !
Ok, j’suis loin d’avoir fait le tour des compagnies aériennes, mais la Thai mérite bien ses récompenses de meilleure classe éco. Les 11H30 de vol jusqu’à Bangkok ont fait l’effet d’un Paris Toulouse – même pas sorti le mac, ni même un bouquin … c’est dire. Une correspondance et 1h de vol supplémentaire et nous voici arrivés à Chiang Mai.
[wpgmappity id= »1″]
Nous commençons donc notre trip Thaïlandais par le nord et la « petite » ville de Chiang Mai. L’atterrissage n’a meme pas commencé qu’on ressent le poids de la nature tout autour de la ville. Rapidement nous passons les contrôles de sécurité (pour une fois, je ne suis plus la victime désignée de la Police aux Frontières !! Merci passeport tout neuf :D), et nous sommes pris en charge par un taxi du coin … très sympa mais il connait pas l’hôtel le garçon ; ce qui nous donne l’occasion de papoter un peu.
Il est 18h quand nous arrivons dans notre Guest House de la vieille ville. Un petit tour en ville histoire de récupérer du cash et direction un resto conseillé par le routard.
Bien évidemment, ce n’est que la première journée … et encore plutôt celle du trajet. Le décalage horaire et les vols dans les pattes, on fait pas trop les malins ce soir.
Cela dit, je me suis surpris à sortir mon appareil dès l’arrivée. Les relans de fainéantise photographique typique de mes voyages sont toujours bien présent, mais l’idée de publier sur le blog me motive et me pousse à réfléchir à ce que j’ai envie de montrer. 
Deux instincts s’opposent : le grand et le petit. D’un coté l’envie de capturer l’environnement, les 35° qui nous entourent (sans nous étouffer -bonne surprise !-), les gens et l’ambiance. De l’autre, l’approche micro qui m’est finalement assez typique : les détails, ces petits rien qui font tout une fois mis bout à bout.
Dur de ne pas tomber dans la photo de vacances de tata Ginette, alors je nous ajoute nous, protagonistes du voyage. Devenus à la fois sujet et objet du voyage, les pensées vagabondent au son des clacs de l’obturateur.
Ca y’est, nous sommes en vacances. La table est rase et nous pouvons commencer.
