Plein la gueule.
Je pourrais arrêter d’écrire ici, tellement ça résume ce qu’on éprouve sur la route entre Cachi et Cafayate. Toujours sur la piste – et malgré un 4×4 qui nous a sorti de la route – on en prend plein les mirettes. C’est vraiment difficile de transcrire en mots la sensation d’espace et le vertige du grand rien de ces paysages. On a trouvé ce qu’on était venu chercher et c’est … waouuuuh.
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De Cachi nous suivons la piste en direction de Cafayate. Angastaco nous tombe dessus de la toute puissance du site. C’était derrière nous et on ne l’a pas vu venir … des milliers d’années d’érosions, les forces combinés du vent et de l’eau … ça fait cliché, mais on se sent super nain (déja que je suis pas grand :/) devant tout ça.
Du coup on prend du recul, on pense, on se sent. On existe comme dirait Julian dont je vous parlerai demain.
De Cafayate, nous rejoignons les ruines indiennes de Quilmès : bastion qui a tenu 130 ans face aux invasions Espagnoles. Malheureusement le site n’a pas résisté aux invasions du tourisme de masse et les cars y déversent casquettes et appareils photos. Nous fuyons vers un petit village : Amaicha del Valle où nous allons logé dans un habitat pour le moins atypique … plutot froid et à l’eau chaude rare mais qui sera l’occasion d’une belle rencontre.
A suivre …
PS: @Nat : Llama!!!
