Jour 7. De Amaicha à San Salvador de Jujuy

Aujourd’hui, 7ème journée de voyage avec environ 350 km de route entre Amaicha et San Salvador de Jujuy. Heureusement la journée a très bien commencé par un petit déjeuner face à la Vallee Calchaquies tout en débatant de l’importance de vivre en fonction de ses passions et de ses convictions et l’impact du voyage et des expériences dans l’expression artistique. Merci beaucoup à Julian (et à ses enfants) de nous avoir offert un vrai moment de partage.

Plus qu’un carnet de route, je préfère pour aujourd’hui parler des personnes que nous avons rencontré depuis notre arrivée à Mendoza, ces gens qui ont partagé leur quotidien, nous ont aidé à planifier notre périple et avec qui nous avons pu échanger sur leurs histoires et passions.

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Je commencerai d’abord par nos hôtes de la Casa Lila à Mendoza : Mariela, Josephina, Pablo (et Olivia). Ils ont vu arriver deux parisiens fatigués après plus de 27 heures de voyage. Ils nous ont accueilli avec gentillesse et un bon thé chaud, nous ont conseillé des restaurants incroyables et ont essayé de nous aiguiller au mieux dans nos questionnements philosophiques sur le meilleur moyen d’aller à Salta.

Arrivés à Salta un peu en catastrophe, nous avons rencontré Silke, Amanda Emma et Riccardo qui nous ont accueilli dans leur dernière chambre libre. Silke a passé plus d’une heure avec nous à nous conseiller les meilleurs endroits de la ville et de la province de Salta et nous a même permis d’avoir les meilleurs prix de la ville pour une location de voiture. Nous aurions surement pu encore nous entretenir avec eux de leur venue en Argentine et de leur vie sur place si le temps ne nous avait pas manqué

En pleine campagne, dans un tout petit village appelé La Paya, (un village inca) au fond d’une vallée, après la très jolie ville de Cachi, nous avons été les hôtes d’une famille de passionés oenologues. En plus de tenir un petit hôtel avec un vrai lit en pierre, ils reprennent l’exploitation en haute montagne de plusieurs parcelles de vignes. C’est avec beaucoup de gentillesse (et quelques mots d’anglais, de français, d’espagnol et d’italien) que nous avons pu visiter leur bodega et goûter à la toute première cuvée de leur vin (Malbec de montagne).

Puis vint Amaicha, avec Julian, et sa famille. Julian possède un hôtel et une ferme magnifique et veut poursuivre son rêve pour permettre à des artistes de profiter de l’inspiration de la vallée. Avis donc aux amateurs, à l’artiste qui sommeille en vous, si l’aventure vous tente, Julian sera votre meilleur contact pour vous permettre de vous exprimer.

Enfin, et en avance sur demain, nous avons eut la chance de rencontrer Nourredine, ou encore Nour, ou le Français qui a bien voulu nous accueillir pour une nuit dans son village de montagne. Vous en saurez plus demain.

Si vous voulez en savoir plus ou si vous cherchez une bonne adresse :

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