Jour 4, Langkawi mais non

Je ne crois pas qu’il y ait de bons ou de mauvais quartiers pour vivre. Moi si je devais resumer le 11e arrondissement de Paris, aujourd’hui, avec vous, je dirais que c’est avant tout une histoire de rencontres… et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée et en particulier qu’en allant acheter trois concombres et une miche de pain, on tombe sur une commerçante volubile qui vient de faire le tour de la Malaisie.

C’est par ce détour Parisien, qu’on s’est initialement détourner de Langkawi qu’on nous a décrit comme beaucoup trop festif ambiance Koh Phangan. Initialement on était donc plutôt parti pour visiter l’autre coté de la Malaisie … sauf que Boeing a eu quelques « petits soucis » avec son 737 max 8 et là, paf pastek, plus de liaison depuis Penang. Du coup retour à la case Langkawi, l’ile où le gouvernement malaisien a décidé, par souci d’équité, de ne pas taxer l’alcool histoire d’en faire en haut lieu du tourisme alcoolique en pays musulman #vacomprendre #fullmoon #aiematete #marchepaslazévomi

Et comme d’hab, on a trouvé un plan B : toujours aller plus haut loin, plus précisément en face, à 7mn de bateau sur l’ile privatisée de Rebak. Un peu comme Trump sur le climat on était sceptique : les mots resort et buffet ayant tendance à provoquer chez nous une manoeuvre de marche en arrière connue chez les militaires comme retraite, fuite, ou barre-toi-ca-pique. Faut dire que l’épisode Varadero nous a sévèrement guéri de ce genre de complexes hôteliers.

Sauf que là, faut avouer qu’on n’est pas mal tombé. La plage est cool, les gens sont gentils et (trop) serviables, le « buffet » est bon et à surtout le très bon gout d’être optionnel et surtout surtout c’est calme. On sera un peu surpris de constater que la douzaine de liaisons aériennes vers Langkawi passe juste au dessus de l’hôtel … mais nous on aime les z’avions : tant qu’on n’entend ni les mecs bourrés du 11e, ni la disco de Varadero, ni les pétrolettes de Penang on est heureux E-R-E.

Bref, on est passé étape 2 du voyage : la glande, le rien à faire, le grand vide, le comptage de perles… la partie où on va vous assommer de photos de plages, écrire un article tous les deux jours et faire des dizaines de lignes pour ne rien dire du tout. Allez bisous, j’ai piscine.

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